Discussió:Domènec Badia i Leblich
Testimoni escrit de la mort d'Alí Bey
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Alors il me serra encore dans ses bras, en m’appelant à plusieurs reprises par mon surnom favori de Abd el-Nischaan. « C’est bien » me disait-il. « C’est bien, gardez-le. Adieu mon ami, je pars et pour bien loin ». Il me dit qu’il était Espagnol de la maison d’Osuna 17 et que par sa mère il descendait du Prophète. Il ajouta ces mots : « Mon ami je suis chrétien et je meurs sans secours, pensez à mon âme ». Alors, avant de me quitter il me prit la tête et de ses doigts défaillants, il fit sur elle des mouvements divers dont je ne pus démêler le sens et l’intention. Ses esclaves entrèrent et le soulevèrent. Une échelle était appuyée au brancard, on le déposa dans sa litière et il me fit de sa main un dernier salut. —el comentari anterior sense signar és fet per Roger Liart (disc. • contr.) 00:02, 11 març 2010 (CET)