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Usuari:Hinio/proves

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Desenvolupament històric

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A l'origen, vivència del diví, l'home "conviu" amb la divinitat.

Si les concepcions de Déu han variat força d'una època i d'una civilització a l'altra, una certa forma de creença en un ésser suprem a prevalgut en gairebé totes les societats històriques. Però alhora, aquesta creença ja va ser discutida des de l'edat antiga pels partidaris de l'escepticisme, el materialisme i l'ateisme. La proportion d'incroyants est sans doute plus importante dans les sociétés modernes que dans la plupart des sociétés du passé.[1]


Les conceptions de Dieu ont considérablement varié d'une époque et d'une civilisation à l'autre ; pourtant, une certaine forme de croyance en un Être suprême a prévalu dans presque toutes les sociétés historiques. Cette croyance fut néanmoins remise en question depuis les temps les plus anciens par différentes philosophies telles que le scepticisme, le matérialisme et l'athéisme. La proportion d'incroyants est sans doute plus importante dans les sociétés modernes que dans la plupart des sociétés du passé.[1]

Animisme - Món dels esperits

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animisme, "percepció" dels esperits

croyance en l’existence d’âmes ou d’esprits, principes supérieurs et immatériels qui résideraient dans les lieux, les personnes, les animaux ou les objets, existant chez de nombreux peuples. Le terme animisme vient du latin anima, « souffle » ou « âme ».Error de citació: Etiqueta <ref> no vàlida; noms no vàlids, per exemple, hi ha masses

Tylor définit l’animisme comme la croyance en des entités spirituelles supérieures, autonomes, immortelles et dotées d’une grande puissance. Celles-ci sont rattachées à chaque enveloppe corporelle et ont le pouvoir de mener une vie propre. Tylor tente d’établir les raisons qui mènent les hommes à cette croyance ; il affirme qu’à travers diverses expériences comme le rêve ou la transe, les peuples dits primitifs sont confrontés à des images ou visions qui leur prouvent que, à la faveur de certains événements, leur âme peut quitter leur corps et voyager selon son gré. De même, au moment de la mort, l’âme quitterait définitivement le corps mais continuerait à vivre ailleurs, la preuve de ce phénomène se trouvant dans le fait que les personnes mortes peuvent continuer d’apparaître en rêve aux vivants. Selon les descriptions de l’anthropologue, l’âme est assimilée par les peuplades observées à une sorte de fantôme, prenant l’apparence de vapeurs ou d’ombres. On lui attribue la possibilité de migrer d’une personne à une autre, mais aussi d’un être mort vers un vivant. Par extension, il est entendu que le principe de l’âme n’est pas seulement propre à l’humain mais se retrouve dans toutes les composantes de la nature, végétaux, animaux et même objets inanimés, et qu’une âme peut par conséquent migrer et se transmettre indifféremment vers chacune de ces entités, quel que soit son type.Error de citació: Etiqueta <ref> no vàlida; noms no vàlids, per exemple, hi ha masses

Mitologia - Déu - Religió

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religió, ordenació moral

Les mythes cosmogoniques, ou mythes de la création, décrivent la naissance de l’Univers. Généralement le plus important dans une culture, il sert de modèle à tous les autres mythes. Certains récits mythiques (Genèse, chap. I), les mythes égyptiens, australiens, grecs et mayas racontent la création de l’Univers ex nihilo. Dans la plupart des cas, le Créateur est tout-puissant et devient le centre de la vie religieuse (Hébreux), ou une divinité plus distante (mythes australiens, grecs, mayas). D’autres mythes cosmogoniques font émerger l’Univers de mondes inférieurs (les Navaho et les Hopi). Selon un mythe polynésien, le monde émerge des différentes couches d’une noix de coco. Dans de très nombreuses cultures, le monde naît de l’éclosion d’un œuf fertile (Afrique, Chine, Inde, Pacifique-Sud) et, dans cet œuf, les Dogon voient le « placenta du monde ».

Un autre type de mythe cosmogonique décrit la destruction d’un monstre. Dans le Poème de la création (voir religion babylonienne), Enuma elish, Marduk terrasse le monstre marin Tiamat et, des deux moitiés de sa dépouille, fait le Ciel et la Terre. Le mythe cosmogonique des parents du monde est extrêmement répandu en Afrique, en Asie du Sud-Est, en Océanie et en Indonésie : d’un couple primordial, éternellement uni, naissent sans fin des enfants, qui, avides de lumière, séparent leurs parents et libèrent un espace où les divinités façonnent un monde humain.

De nombreux mythes, en Sibérie, en Asie centrale, en Inde, etc., racontent comment un animal (tortue, oiseau, sanglier) plonge dans les eaux primordiales et en rapporte une parcelle qui devient la Terre.

Le thème du sacrifice est commun à plusieurs mythes cosmogoniques : dans le mythe babylonien, le corps sacrifié de Tiamat est la Terre ; dans le mythe indien que relate un des hymnes du Rig-Veda, l’Univers entier résulte du sacrifice d’un géant primordial, Purusha, démembré par les dieux.[2]

Vers 600 aC

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explicacions raonades del funcionament del món amb els Upanixads, Buda, el jainisme, Laozi, Confuci, Tales de Milet , Ezequiel, mazdeisme o "neozoroastrisme"...

Adveniment del cristianisme

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Aspectes filosòfics i religiosos

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Creença en Déu

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Croire en Dieu signifie avoir foi dans la cause suprême de l'être, ou croire à une rationalité suprême et à la justesse de l'ensemble des choses. Cette façon d'exprimer la nature de la croyance laisse ouvertes les questions de la transcendance, de l'immanence, de la nature personnelle ou impersonnelle de Dieu, etc. Fondamentalement, la source de la croyance en Dieu réside dans une expérience religieuse, dans la découverte qu'il existerait un dieu qui agit sur la vie de l'individu ou dans une expérience mystique qui révélerait sa présence. La croyance s'enracine aussi dans des expériences morales où s'éprouve le sentiment d'une profondeur ou d'un absolu qu'on appelle Dieu : relations avec les autres, sentiment du beau, recherche de la vérité, conscience de la finitude ou confrontation à la souffrance et à la mort.

Bàsicament, l'origen de la creença en Déu rau en l'experiència religiosa, és a dir, o bé en el sentiment profund que hi hauria una entitat que és la causa suprema de l'ésser i que ordena el món, o bé en el fet de viure una experiència mística (experiència viscuda) que revelaria la presència d'aquesta entitat. Creure en Déu és doncs bàsicament una qüestió de fe. La creença també té les seves arrels en les experiències morals on es té una sensació de profunditat o d'absolut que hom anomena 'Déu': relacions amb els altres, el sentit de la bellesa, la recerca de la veritat, la consciència de la finitud o confrontació amb el sofriment i la mort. Aquesta forma d'expressar la naturalesa de la creença deixa oberta la qüestió de la transcendència, la immanència, la naturalesa personal o impersonal de Déu, etc.

Definicions de Déu

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Dieu, en tant que ésser suprem en les religions, sol ser considerat com el creador i la font de tot allò que existeix.

Dieu peut être conçu comme plutôt transcendant (« au-dessus » du monde), ce qui souligne son altérité, son indépendance à l'égard du monde et son pouvoir, ou comme plutôt immanent (« habitant » le monde), ce qui met en relief sa présence et sa participation au monde. Par analogie avec les êtres humains, il a pu être imaginé comme une personne ; à l'inverse, bien des religions ont jugé que le concept de personnalité ne pouvait s'appliquer à Dieu, lequel devait être conçu comme impersonnel ou suprapersonnel. Dans les grandes religions monothéistes, Dieu est vénéré comme l'Un, l'unité suprême qui embrasse ou a créé toutes choses ; on lui attribue la perfection, l'infinitude, l'immuabilité, l'éternité, la bonté, l'omniscience et l'omnipotence. Mais la croyance en plusieurs dieux ou polythéisme a existé également tout au long de l'histoire.

Si malgrat leurs différences, les conceptions de Dieu dans le judaïsme, le christianisme et l'islam montrent des similitudes évidentes, les grandes religions de l'Asie, pour leur part, appartiennent à un univers assez différent. Dans le contexte religieux asiatique, l'emploi même du mot « Dieu » peut se révéler trompeur, dans la mesure où il évoque généralement une personnalité. Le terme « déité » semble plus approprié car il englobe à la fois l'idée d'un Dieu personnel et celle d'un absolu impersonnel.



En la cultura occidental, des de l'edat mitjana, el terme 'Déu' normalment es refereix al concepte monoteista d'un ésser suprem, diferent de qualsevol altre ésser. El teisme clàssic afirma que Déu posseeix tota la perfecció possible. No es tracta de l'única definició possible de Déu. Altres enfocaments filosòfics prenen una definició simple de Déu com a "motor immòbil", "causa incausada",[3] el "creador definitiu"[4] o "un ésser superior al qual res pot ser concebut"[5] a partir de qui es poden deduir les seves propietats clàssiques.[6]

Al contrari, el panteisme no creu en un Déu personal. Per exemple, Spinoza i els seus seguidors filosòfics (com Albert Einstein) utilitzen el terme "Déu" en un sentit filosòfic particular, per a voler dir, aproximadament, 'la substància o començament essencials de la naturalesa'.[7]

En la branca de l'hinduisme anomenada advaita vedanta, la realitat es considera en última instància un únic ésser, aliè a les qualitats i al canvi, anomenat nitguna Brahman ('Braman sense qualitat'), que se suposa més enllà de la comprensió humana ordinària; essent el món que normalment percebem, constituït de pluralitat d'objectes, provocat per les conseqüències de les nostres accions. La filosofia advaita introdueix el concepte de saguna Brahman o Ixvarà com a una manera de referir-se a aquest Braman davant el poble.

Les religions politeistes utilitzen la paraula "Déu" per a múltiples éssers amb diversos graus de poder i habilitats, que en relats com els de la mitologia grecoromana apareixen antropomorfitzats, amb vicis i virtuts humanes.

Es pot demostrar l'existència de Déu?

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Molts pensadors religiosos han sostingut que Déu és tan diferent dels éssers finits que constitueix un misteri que va més enllà de l'enteniment humà. Nogensmenys, la majoria de filòsofs i de teòlegs han considerat que hom pot atènyer un coneixement limitat de Déu i han formulat diverses concepcions.[1]

Les conceptions philosophiques et religieuses relatives à Dieu ont à certains moments nettement divergé. Au XVIIe siècle, par exemple, le mathématicien et philosophe chrétien Blaise Pascal a opposé le « Dieu de la foi », réalité vécue, vivante, au « Dieu des philosophes », idée abstraite. Presque toujours, les mystiques, qui prétendent avoir une expérience directe du divin, jugent leur connaissance de Dieu supérieure aux démonstrations formulées par les philosophes et les théologiens. Certains théologiens ont donc essayé de combiner l'approche philosophique et l'expérience directe de Dieu, comme l'Allemand Paul Tillich au XXe siècle. Cependant, une certaine tension reste sans doute irréductible entre la manière dont les théologiens parlent de Dieu et celle dont la plupart des croyants le perçoivent.[1]

Toutes ces tentatives pour réunir dialectiquement en Dieu des caractéristiques apparemment contradictoires furent fréquentes chez les mystiques et les religieux qui essayèrent d'exprimer la complexité de l'expérience religieuse. Ainsi le philosophe allemand Nicolau de Cusa (XVe siècle), convaincu que seule l'intuition mystique permettait d'appréhender Dieu, soulignait-il la « coïncidence des opposés » en Dieu ; de même, le philosophe danois Søren Kierkegaard (XIXe siècle) a insisté sur la nature paradoxale de la foi religieuse. Ces formules veulent suggérer que la logique d'un discours sur Dieu est nécessairement différente de celle qui s'applique à des entités finies.

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En les postures teistes a favor de l'existència de Déu, com el catecisme de l'església catòlica, tot seguint la tradició tomista i la definició dogmàtica del Primer Concili Vaticà, postulen que en la doctrina l'existència de Déu ja ha sigut racionalment demostrada, indicant que les proves de l'existència de Déu estarien presents en les Cinc vies de Sant Tomàs d'Aquino.

Seguint la fe cristina, els filòsofs i els teòlegs distingeixen dues maneres de conèixer a Déu:

  • Doctrines provinents de revelacions especials que sorgeixen fonamentalment de la fe en les revelacions inspirades per Déu, inclouen la vida de Crist, però que no poden ser provades ni previstes només per la raó, tals com la doctrina de la Trinitat i de l'encarnació.
  • Doctrines provinents de la revelació general, és a dir exclusivament de la raó obtenint conclusions basades en observacions relativament òbvies del món i d'un mateix.

Moltes altres confessions cristianes comparteixen el punt de vista que l'existència de Déu pot ser demostrada sense haver de recórrer a la revelació. Els catòlics sostenen que l'argument pot ser conegut per tothom, inclús sense cap revelació divina, ja que és anterior a la cristiandat. Sant Pau va utilitzar aquest argument en insistir que els pagans no tenien excusa, perquè "des de la creació del món, la invisible naturalesa de Déu -és a dir, el seu poder etern i divinitat- s'ha percebut clarament en les coses que han sigut fetes".

Aprehensió de la divinitat en les diverses cultures

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Mesopotàmia i Antic Egipte

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Déu solar

Marduk, déu de la llum i del foc dans la religion babylonienne, le dieu suprême. À l'origine, il était le dieu des Orages. Selon Enouma elish, un poème épique ancien sur la création, Marduk terrassa Tiamat et Kingu, les dragons du chaos, et gagna ainsi le pouvoir suprême. Reconnu comme le créateur de l'univers et de l'humanité, le dieu de la Lumière et du Feu, et le maître des destinées, il prit une telle importance qu'il eut cinquante titres de gloire. Plus tard, il fut simplement appelé Bêl, ce qui signifie « Seigneur ».[8]

Atum o Ra, el déu solar dels egipcis

Les Sumériens avaient quatre divinités principales : An, le dieu du Ciel, Ki, la déesse de la Terre, Enlil, le dieu de l'Air et Enki, le dieu de l'Eau. Le ciel, la terre, l'air et l'eau étaient considérés comme les quatre composants majeurs de l'univers. Selon eux, l'acte de création était accompli par l'expression de la parole divine ; la divinité créatrice devait simplement concevoir l'idée et prononcer le nom de l'objet à créer. Pour que le cosmos garde un fonctionnement continu et harmonieux, et pour éviter les confusions et les conflits, les dieux inventèrent le me, soit un ensemble de règles et de lois universelles et intangibles que tous les êtres devaient respecter.[9]

Déu subterrani

Importància pels egipcis d'Osiris, Anubis

Extrem Orient

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Xina

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Saviesa sense divinitat: yin-yang, qi (energia còsmica), panteisme

Japó

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Xintoisme

Àmbit de l'hinduisme

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Ensenyament revelat; Brahman, Ixvarà, conceptes abstractes personificats en els diversos "déus". Reencarnació. La història es desenvolupa de manera circular, el que genera una mentalitat d'acceptació i àdhuc de fatalisme immobilista (sistema de castes)

Budisme

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en contraposició, el Buda preconitza la responsabilitat individual. El sentit veritable de la reencarnació és que cal millorar-se en cada vida fins a alliberar-se del samsara arribant al nirvana. I per a això no cal apel·lar la divinitat

Advaita vedanta

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no-dualitat: l'ànima humana és una parcel·la de Déu

Zoroastrisme

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Ahura Mazda Déu impersonal de la llum. Veritat (bé) vs Mentida (mal)

Període grecoromà

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Antiga religió grega

Politeisme antropomòrfic.

Mitraisme, herència del zoroastrisme i del vedisme

Amb la filosofia, aparició del raonament per explicar el diví; fusió entre Occident i Orient

Judaisme

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Déu dirigent - obediència i càstigs

Cristianisme

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Déu d'amor ("Pare") - llibertat

Trinitat

escolàstica - mística (fusió de l'ànima humana amb la substància divina)

Islam

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Déu "dirigent i d'amor" - submissió al destí

Kalam: raonaments intel·lectuals per a demostrar l'existència de Déu (origen del pensament científic). Influència el talmudisme i l'escolàstica. - Sufisme

Referències

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  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 Dieu, Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation (francès)
  2. mythologie, Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation
  3. Tomàs d'Aquino, vegeu Cinc proves de l'existència de Déu.
  4. Una reexposició moderna, vegeu «www.polkinghorne.org». Arxivat de l'original el 5 de novembre de 2006. (anglès)
  5. Segons l'anomenat argument ontològic de Sant Anselm
  6. Vegeu Richard Swinburne “Does God Exist?”, o John Polkinghore.
  7. Vegeu els articles d'aquests autors, i sobretot l'article d'Einstein de l'any 1940 a la revista Nature.
  8. Marduk, Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.
  9. sumérienne, mythologie, Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.